•PHYSIQUE :
Sinon, à part son beau visage et ses habits, au niveau de son corps il mesure 1m80 ; et a un corps bien taillé, correctement musclé ; dire que pas un gramme de graisse est en trop serait mensonger, après tout, comment résister à la tentation de de fraises enrobés de chocolats ? Sincèrement ?
Des cicatrices traînent par-ci par-là sur son corps, à cause de nombreux combats, et..., guerres... Il en a notamment une assez important à cause d'un pari débile, qui traverse une bonne partie de son dos...
Il a un porte-clé La Petite Sirène bien caché à l'intérieur de sa veste...

En nyotalia, il enfin elle, a la cheveux le plus souvent attachés en une queue-de-cheval ; détachés ils lui tombent aux épaules, même si des mèches tombent devant ses cheveux.
Elle porte le plus souvent des t-shirts rouges s'accordant parfaitement bien avec ses yeux, toujours un peu trop grand pour elle ; ses jeans sont déchirés aux niveaux des genoux ; ses chaussures sont le plus souvent des bottes noires, à vrai dire, elle s'en fiche pas mal de comment elle s'habille tant que c'est confortable.
Une veste noire, également, est accroché à sa taille, sinon elle le porte normalement.
Elle lui arrive souvent d'avoir une expression dure et froide, en plus de ces sourcils froncés, ses lèvres sont recouvertes d'un rouge-à-lèvre rouge, couleur qu'elle semble particulièrement affectionné.
En hiver, pareil quand version mâle ; elle se recouvre entièrement ne laissant aucun courant d'air froid la traverser.
Elle mesure 1m76, la marseillaise a également des cicatrices, toujours celle dans son dos. Le même porte-clé...

Le caractère de notre cher Alban ?...... Je pense qu'on peut tout résumer par : sale caractère, et gentil après un rituel satanique ? Plus de précision ? Dans ce cas... Il déteste les parisiens, et prend tout ceux qui ont du "sang parisien", sans l'être pour autant, ces personnes SONT parisiens ; vous avez juste une grand-mère parisienne, alors que vous habitez à Marseille ? Vous êtes parisiens, vous êtes un intrus, déguerpissez avant qu'il ne vous frappe. Tiens, d'ailleurs en parlant de frapper, Marseille à ses "petits" défauts - comme tout le monde, c'est-à-dire : agressif, oui ce mot le correspond bien ; vous êtes parisiens ? Fuyez. Vous l'avez insulter - même si ce n'est qu'une insulte pour rire ? Fuyez. Vous l'avez frustré ? Fuyez. Il vous jalouse ? Barricadez-vous, et ne sortez plus JAMAIS de chez vous, on ne sait jamais...

Comme autre défaut, - si on peut appeler ça comme ceci..., il a la manie de toujours exagérer quelque chose ; vous êtes juste passer - devant lui alors qu'il attendait sagement, pour ramasser quelque chose qui est tombé ? Ah ah ah, non vous venez de << D'essayer de le doubler, tout en voulant lui écraser son pied, il est donc normal, que je vous ait insulter et faillit vous frappez ! >> Il a fallut du temps avant de le calmer... C'est vrai qu'il se calme assez difficilement, lorsqu'il est énervé.

Reprenons, Alban s'énerve assez facilement (nooooon c'est vraiiii ?) Un peut trop facilement... Surtout en présence de Pa-, d'une personne qu'il ne supporte pas (PAAARIIIS).

Alban ne comprend pas - ce qui l'énerve un peu, COMMENT, des parisiens et des marseillais peuvent traîner ensemble, être ami(e)s. COMMENT ?! Il ne comprend jamais et ne comprendra sûrement jamais.

De nature impatiente - on s'en doute, n'essayez même pas de lui lancez plusieurs insultes, au bout de la cinquième vous vous récolterez sûrement son poing dans votre figure, si ce n'est pas avant.
Il est assez rare, qu'il entre dans une grosse colère, mais dans ces cas-ci pour de vrai : IL FAUT FUIR ; car il risque de dégainer son arme. (Non pas CETTE arme, bande de pervers !)

<< Rien ne se résout par la violence. >> Vous lui dites ça, ou une phrase de ce genre, il vous contredira, après tout c'est dans sa nature de se battre.

MAIS ! Malgré tout ces défauts, il a aussi ses qualités... Ou pas.
Il peut se montrer excessivement protecteur avec les personnes qu'ils jugent avoir besoin de lui, BEAUCOUP BEAUCOUP BEAUCOUP etc, TROP !

Après un rituel satanique, Marseille peut se montrer gentil, en tout cas si vous sortez avec lui et seulement après six mois en couples, faut pas trop rêver non plus ! Si vous êtes un ami Marseille peut également se montrer gentil... Et encore...

Ayant une grande fierté envers sa ville, il la défendra si il croit que vous l'attaquez verbalement ou physiquement - n'essayez même pas, conseil d'ami. Une fierté tellement grande, que c'en est presque du narcissisme ! Si on déforme un peu la définition...

En parlant de sa ville, travailleur - quand ça a un rapport avec cette dernière, faut pas déconner, non plus ! Il fait toujours le nécessaire pour que ce soit la ville la plus visitée au monde, la moins polluer, la moins dangereuse, la plus PARFAITE ! Même si pour lui elle l'est déjà, il n'est pas idiot et sait parfaitement qu'elle a beaucoup de défauts.

Sinon, non, ce n'est pas le cliché de la brute épaisse sans cervelle et à l'intérieur le gros bisounours, quoique... Le narrateur de cette fiche, moi, va se faire tuer... Il aime les Disneys... EH OUI ! Enfin, ça c'est un secret que même les personnes qui sont proches lui ne le savent pas ; Alban n'aime tellement pas montrer cette aspect de sa personnalité qu'il va jusqu'à télécharger les films, tout en vérifiant, qu'on ne peut pas vérifier qu'il les a télécharger. Paranoïa tiré par les cheveux ! J'vous l'dis !

Fan de rock il connaît l'histoire du rock par cœur, a tout les CD de Queen, et d'autres groupes qu'ils soient cultes ou non !
Pss, secret, en plus des CD rock il en a aussi des Disney... Secret hein ? J'tiens à ma vie...

Contentons-nous de ce qui est écrit dans les manuels, après tout ce serait ennuyeux de tout raconter n'est-ce pas ?...

Le blabla habituel qu'on trouve dans les livres d'histoires ou - de nos jours sur Wikipédia,
L'espace côtier de Marseille est occupé dès la Paléolithique supérieur par les hommes. En fait non, c'est beaucoup trop ennuyeux ; je vais vous raconter une version avec plus d'actions.

Au moment où les Phocéens sont arrivés Marseille, à l'époque Massalia, ce dernier était conte leur arrivé et ce sentiment s'est renforcé dès que, le roi Nanus a cédé un bout du territoire à ses intrus... Non, franchement il n'aimait pas ça, mais à l'époque Alban n'était qu'un enfant, seulement capable d'aboyer sans arriver à mordre qui-que-ce-soit avec ses petits poings.
Au bout d'un moment il s'est habitué à leur présence, au point de ne plus leur crier dessus à tout bout de champs, pour lui les Phocéens étaient un peu comme sa nouvelle famille ? Peut-être.
Et puis ; il devait bien avouer que les arrivants avaient apportés du bon avec eux, grâce à eux Alban a vue sa cité (aujourd'hui ville) s'agrandir, bref que des points positifs ; ils avaient même réussit à << Faire un lavage de cerveau prévu depuis le début ! Même que le savon était toxique et que... Et catera, et catera... >> D'après ces mots ; même si ils n'avaient fait que rendre Marseille plus calme et plus ouvert.

La vie a continué Marseille a du combattre les carthaginois, provoquant ainsi ses premières cicatrices ; Alban ne s'en ait jamais plaint pour lui c'était des cicatrices de guerres, sa fierté, même si au fond de lui voir autant de morts l'avait terrifié ; il s'en ait habitué...
Les Phocéens ont finis par perdre, obligeant les Massaliotes à s'allier avec Rome, ce qui au départ s'est très mal passé, en effet, Alban ne supportait pas devoir s'allier avec un << vieux schnock >>, il n'en avait PAS besoin... En bon garnement 1/2 calme il faisait tout pour casser la pied à notre cher Rome ; jusqu'à que les adultes interviennent et essaye de calmer ce dernier, ça a pris du temps... Et beaucoup de cris...

Marseille a découvert et aimer la mer avec des explorateurs et marins tel que Euthymènes, c'était une véritable passion ! Sentir le vent dans ses cheveux, l'air marin ! Une véritable sensation de magie !

En grandissant il devint de plus-en-plus avare d'argent à cause de la prospérité de sa ville, le rendant exécrable, un pillage suffit à le faire redescendre de son nuage doré ; il se sentit troublé durant cette période, ne comprenant pas pourquoi du jour au lendemain SA ville perdit de l'importance ; il se reprit néanmoins, il était fort ! Ne voulant montrer ce qu'il appelait une "faiblesse", il se reprit en main assez vite... A la vitesse d'un escargot... Son avidité partit, laissant place à de la violence.

En 737, quand les Francs pillèrent sa ville une rage avait grandit en lui, mais il était devait aussi être à côté des évêques ; voir si il pouvait aider, voir si sa ville allait se relever de ce pillage. Malheureusement pour lui, les pillages s'enchaînent, et quand son peuple dut se replier sur une pauvre petite parcelle ; les murs et les poings d'Alban prirent chers, ne rien faire c'était affreux ! Voir son peuple se replier sur lui même l'énervait encore plus...

Seulement, le temps passa, Alban grandit et s'énerva, combattu, de nombreuses fois jusqu'à que Marseille (la ville) voit la peste arrivé, ô grande période de malheur, c'était pire que tout ce qu'il avait vécu ! Voir son peuple crever et attendre qu'un remède soit en place ne le faisait mettre dans tous ses états, un coups déprimé du sort de sa ville, un coup énervé de ne pouvoir rien faire... Cependant, il restait beaucoup de son lit, sa fièvre augmentant à chaque fois qu'une personne souffrait ; quand il sut que 38 000 personnes c'étaient éteintes, une grande tristesse l'avait traversé devenant incontrôlable, des larmes coulaient sur ses joues une fois qu'il était seul, mordillant sa lèvre inférieur et imaginant combien les Marseillais ont dû souffrir de la peste... Et lui n'avait rien pu faire... Horrible.
Mais le fait que sa ville possédait un grand port n'arrivait pas à le consoler, sa vie était devenue morne et terne. Jusqu'à qu'Alban se regarda dans un miroir pour la première fois depuis des mois, ce qu'il vit ne le plaisait pas, mais alors absolument pas ; détruisant cette "saleté" de miroir, entaillant son poing par la même occasion, il décida de se relever de cette épreuve, de ne plus avoir à s'apitoyer sur son sort.

Cette épisode l'endurcit, de ce fait, au moment où Marseille a été débaptisé, aucune larmes ne coula sur ses joues, seulement des regards noirs lancés à ceux qui ont pris cette décision, s'empêchant de les tabasser.

Quand la Marseillaise eut été inventé une grande joie l'avait submergé s'il était un gosse, il aurait sûrement courut partout, mais ce n'était plus le cas ; à la place il s'autorisa un sourire en voyant sa ville si enthousiaste.
Quand 500 volontaires sont partis à Paris, et qu'un certain François Mireur chanta cette œuvre, son sourire disparut et au final il sauta de joie de voir que son hymne, La Marseillaise.

A la deuxième guerre mondiale, il n'hésitait pas à vouloir se jeter pour sauver quelques marseillais ; on l'en empêchait...
Quand la ville eut a souffrir de l'occupation, les armes n'étaient plus une option pour Alban, bien sûr en discrétion.. Même si, il ne put vraiment se battre, l'irritant grandement.
Quand les habitants du Vieux Port partirent, et que plusieurs semaines après il ne restait que des ruines, le (petit ?) cœur de Marseille se serra voir tant de ruines ne le plaisait pas. A la libération (Youpi !) Marseille ne peut que être heureux de voir sa ville chérie qui n'est plus sous la pression des allemands... Il garda gravé en lui le souvenir de cette guerre, pour être plus fort, d'après ses mots.

Marseille Provence 2013 : La Ville élue "Capitale Européenne de la Culture."

(Merci à Wikipédia. J'ai l'impression d'avoir fait un truc baclé, j'espère que non.)

Une centaine de lignes dont les cinquante premières serons écrite par le STAFF.
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