| | Auteur | Message |
---|
Invité
Invité
| Sujet: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 16:08 | |
| Donc, le Roi s'ennui ! Et quand le Roi s'ennui, il demande des défis d'écriture au autres membres u_u (j'aurais bien ajouter dessins, mais mon scanner est dead et j'ai pas suffisamment d'argent pour un nouveau donc bon....)
Alors le principe est simple :
Un pairing Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ) Une situation Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel Une phrase à casée
Après, si vous avez d'autres truc que vous voulez ajoutez, tout me va hein
)
Ca sera des OS.......Ou pas Du moins, ça en sera au départ, pour Noël et après, je verrais pour les continuez si j'ai pas réussie à tout casé en un seul truc u_u C'est une sorte d'échange. Un cadeau de Noël pour vous, comme pour moi, d'une certaine façon ! 8D _____________________________________________________________________________________________
_____________________________________________________________________________________________Milly, mon alligator : Távol a hideg december- Spoiler:
Le vent qui cognait contre une vitre quelque part dans la maison. Se vent lourd de neige, qui ressemblait à autant de hurlement de ceux qui avait un jour été piégés dans le froid perpétuel de ce pays. Les flocons se faisant maltraiter par l'air, écraser sans ménagement sur les façades, les fenêtres, le sol avant de se faire piétiner. Comme ta vie, ta liberté ou tes perspectives d'avenir. Ta fierté aussi. Tu est une moitié de quelque chose. Une grandeur passé qui s'épuise à lutter contre le froid. L'hiver qui transperce de ses griffes, qui te mord, cherchant à te dévorer et te faire disparaître. Devenir une des voix hurlantes du vent. Tu as peur de disparaître comme tu as peur de vivre. Parce que rester en vie en étant ici, c'est tout aussi angoissant que mourir pour te retrouver ailleurs. Ta vie s'échappe comme la chaleur. A chaque courant d'air, tu ne frissonne pas mais tu deviens un peut plus un fantôme. Tu n'espère même plus partir d'ici. Même si tu arrivait à sortir de ta cage grise, à courir dans la neige, tu n'es pas sur de retrouver le chemin de chez toi. Comment pourrait tu rentrer, de toute façon ? Ou est-ce chez toi, à l'heure d'aujourd'hui ? Il reste des ruines, des cris, du sang. Et quand tu ferme les yeux, les images d'avant sont remplacer. Ta force s'épuise dans ce décor monochrome. Chaque fois que tu vois son sourire tu as envie de crier ta rage, de te débattre et de lui rendre les coups qui t'ont un jour mis à genoux. Parce que tu refuse tout de même de plier. Même prisonnière et à moitié brisée, tu refuse la défaite. Tu n'as jamais été de ces nations qui se laisse faire docilement. Tant que tu respira, tu combattra, c'est ainsi. Et tes envies de fuites sont de plus en plus fort. Tu attend le jour ou il baissera sa garde-il y à peut de chance que cela arrive cependant. Ce jour ou la tête haute tu franchira la porte, quittant cette prison glaciale. Tu écrasera la neige sous tes pas, sans un regard en arrière, pour rentrer chez toi. Tu ignore ce que tu trouvera en rentrant, mais ça n'a que peut d'importance, parce que ce sera forcément mieux qu'ici. Tu souffle sur tes doigts gourds. Ce n'est même pas le froid du dehors qui te donne des frissons, mais le froid des gens d'ici. Celui de leur yeux, de leur cœur. Le froid des gens qui ont perdu les seules choses qui ont du les rendre un peut vivants, un peut humains, par le passé. L'hiver même semble plus chaleureux autour de toi que leur regard vide et glacés. Tu rêverais que le soleil perce les nuages chargés de neige, ne serai-ce que pour réchauffer un peut ce qui te tiens lieu de cellule. Tes vêtements sont aussi efficaces que du papier à cigarette. La vapeur blanche qui s'échappe d'entre tes lèvre bleuies. Tout les jours, tu constate avec dépit que cet endroit te tue un peut plus et que malgré ta lutte, tu finira par n'être rien, si tu ne peut pas t'échapper. Et encore une fois la colère te prend. Tu sais pertinemment que tu ne peut pas vraiment grand chose contre lui, mais ça ne t'empêche pas d'y croire. Un jour, tu lui fera regretter de t'avoir retenue captive. Tu lui fera regretter le froid qui s'est insinuer jusque dans tes os. Un jour tu sortira d'ici. Tu prendra ta revanche. Étrangement, ça te fais sourire. Tu sais pourtant que les images qui défiles devant tes yeux ne seront jamais la réalité. Parce que même si tu le bat un jour, il ne finira pas aussi minable que ce que ton esprit te montre à l'instant. Pourtant, ce serait surement jubilatoire de voir Ivan à genoux devant toi. Ivan et son regard vide. Ivan et sa défaite. Et même si ça ne se fait jamais, ça te permet au moins de tenir un peut plus longtemps et de ne pas devenir complétement folle. Alors oui, c'est une utopie-peut être- mais un jour, tu fera regretter cet enfer à Ivan. Et aussi étrange que tout ce qu'il y à ici, ça te fais presque rire. Peut être que finalement tu perd bel et bien la raison ?
Et quand le soir arrive, alors que tu es toujours seule dans cette pièce, ton sourire n'est toujours pas parti. Dans le froid perpétuelle, tu te couche. Et tu compte bien rêver. C'est encore bien la seule chose que tu puisse faire librement sans que le russe n'ait un contrôle quelconque. Une petite rébellion, en quelque sorte. Mais tu sais que si il pouvait, Ivan s'arrangerait pour que vous ne puissiez pas rêver.
Et dans ton sommeil, les images te reviennes. Il n'y à pas d'hiver et pas de russe. Pas de chars et pas de ruines. Juste d'immense pleines vertes. Tu sais d'instinct que derrière le talus à ta gauche, il y à un ruisseau. Si tu avance encore un peut et malgré les hautes herbes, tu verra un pommier. Tu connais cet endroit par coeur. Parce que c'est chez toi. Parce que cet endroit est toi. Tu essaye de reconnaître le pas de l'animal qui approche. Mais ce n'est pas un animal. Et quand deux yeux à l'éclat écarlate te fixe, que tu reconnais les cheveux blanc complétement ébouriffés ou se trainent quelques feuilles, tu te sent étrangement plus sereine. Parce que Gilbert n'est ni blessé ni mort. La Prusse existe toujours. Toi qui à attendus si longtemps dans ta cellule pour savoir si l'ancienne nation existait toujours. Et malgré que tu te souvienne que son sourire suffisant t'agaçait déjà enfant, tu lui sourit en retour. Parce que tu n'es pas toute seule. Même si c'est pour un temps très court, au moins, il est avec toi. Vos anciens jeux te revienne en mémoire. Tes souvenirs son brulant comme une flamme et chasse le froid qui existe autour de toi depuis tellement longtemps. Le rêve prend le pas sur la réalité. Les couleur vive de la pleine remplace le gris de ta chambre. Le vent doux et l'air tiède du printemps remplace le froid de décembre. Et tu aimerais rester dans ce souvenir. Oublier les plaies encore fraiches et les cicatrices sur ta peau. La morsure douloureuse du froid sur tes mains qui se referme sur le vide quand tu cherche la main de quelqu'un que tu connais. La ou tout ce que tu connais existe toujours. Ou ceux auquel tu tiens existe encore . Et tu te souviens aussi de se qui se disait souvent chez toi. « En hiver, les changement de saison, les jours plus cours rendent les gens plus triste et si on ne fais pas attention, ils les rendent fous .» Alors peut être que c'est vrai et que ta raison s'échappe finalement. Que c'est pour ça que le russe sourit toujours alors que les cadavres s'accumulent à ses pieds. Tout ceux qui ne pensent pas comme lui, qui ne veulent pas le suivent, qui s'opposent à lui disparaissent. Et tu es prise de l'angoisse sourde de ne jamais revoir les yeux rouges, le sourire suffisant, le rire caractéristique de la Prusse. Et malgré vos disputes et les coups que tu lui à si souvent donné, tu ne veux pas que cet imbécile n'existe plus. Parce qu'une partie de ton existence c'est écrite avec lui. Tu as tellement défendue les notes, la mélodie rassurante du piano et celui qui en jouait que tu as oublié la complicité qui te liait à l'albinos. Alors dans ton rêve, tu attrape ce petit garçon capable de défaire toute une armée parce que tu le lui à demandé. Tu le tiens contre toi. Il proteste et ce débat. Il t'assomme de cris, t'ordonnant de le lâcher. Que les amis ne font pas ce genre de choses bizarres. Que les garçons ne se tiennent pas dans les bras l'un de l'autre comme ça. Il à les joues aussi rouge que ses yeux et ça te fait rire. Et quand tes yeux plein de larmes se repose dans les siens, il te dévisage d'une drôle de manière. Parce que ce n'est plus un autre « petit garçon » qu'il a sous les yeux, mais la Hongrie d'aujourd'hui. Celle qui est prisonnière mais qui lutte. Celle qui se tait dans sa cellule mais crie en elle même. Celle qui est marqué par les horreur d'une guerre qu'elle ne contrôle pas. Un jeux stratégique ou son avis ne compte pas. Il est tenu fermement dans les bras d'une femme au traits fatigués. La Hongrie prisonnière. Et tu ne réagit même pas quand, inquiet, il te demande pourquoi tu pleure, qui t'as fait ça, ce qui te rend triste. Parce que même si tu essayait de lui expliquer, les mots ne serraient pas suffisant. Et il y à des choses qu'on ne dit pas. Pas à un enfant, même si c'est une nation. Pas des choses qu'on raconte à un ami, surtout quand on s'est autant éloigné de lui. Tout ça, tu ne peut simplement pas le dire à Gilbert. Surtout s'il n'est qu'un souvenir. Quand tu te réveillera, tes bras seront refermés sur du vide. Et au matin, tu n'osera pas demander au russe ce qu'il advient de lui, parce que sa réponse de fait peur à l'avance. Tu veux encore croire que tu croisera Prusse au détour d'un couloir de la maison soviétique. Peut être blessé, mais vivant. Occupé mais toujours aussi arrogant et sur de lui. Et même la tu ne lui dira pas. Surtout pas que tu à l'impression d'être folle. Tu te contente de garder ce gamin trop bavard et remuant contre toi. Parce que s'il ne doit plus exister dans ta tête, tu ne veux pas qu'il se taise. Tu as une pensée pour Ludwig, un peut. Parce qu'il doit attendre un frère qui ne reviendra probablement pas. Tu n'en sait rien et lui non plus. Et ça fait mal, d'être à ce point dans le doute. Et tu te déteste un peut de penser à la mort de Gilbert comme une évidence. D'être faible comme ça, alors que tu devrais être forte comme avant. Comme la Hongrie d'avant. De croire au mots d'Ivan. Mais pour le moment tu rêve. Alors dans ton sommeil, avec cette petite nation contre toi, la solitude s'éloigne, comme le froid, le vent et la neige.
Tu n'écoute même pas ce que raconte le russe. Tu t'en fiche. Tu regarde les flocons au dehors et tu compare ta vie à la leur. Être balloter de tout cotés, malgré les protestations que eux ou toi pouvez emmètres. Être porté par les hurlement de la foule ou du vent, par des voix qui influes sur vos vies, qui vous composent et vous animes. Tomber au sol, tout en restant splendide, vous faire écraser sous le poids d'une botte étrangère, sous les millier de pas de gens indifférent et inconnus. Parce qu'on ne s'arrête pas pour contempler un flocon seul. On les regardent quand ils sont plusieurs et composent un tapis de neige, mais jamais on ne s'attarde à regarder un seul et unique flocon qui déambule. Parce qu'après tout, ce n'est que de l'eau gelée, rien de plus. Parce que tu es une nation qui à perdu sa liberté. Et ce blanc là t'en rappelle un autre. Et le froid est plus grand encore.
La vie éphémère d'un flocon de neige. La vie piétinée de la Hongrie sous domination soviétique.
Tu retourne à ta chambre, ta cellule grise et glacée, sans te presser. Il n'y à rien que tu ne connaisse pas par cœur dans cette pièce de toute façon. Aucune surprise ne t'y attend. Ou peut être que si.
Tu referme la porte sans t'en rendre compte. Tes yeux ne veulent pas regarder autre chose que l'autre occupant de la pièce. Peut être parce que tu à peur que si tu ne le regarde plus il disparaisse, ne soit qu'une illusion. Vous ne dite rien mais vous continuez de vous fixer. Les yeux dans les yeux. Et étrangement, tu as cette sensation de chaleur. Comme une braise sous la cendre. Tes souvenirs affluent, comme ta sensation d'exister. Il est aussi fatigué que toi, blessé aussi, comme tu l'est. Au dedans comme au dehors d'ailleurs. Mais une de tes plaies vient de se refermer comme si elle n'avait jamais existé. Parce que Gilbert est là, devant toi, avec son stupide sourire. Tu ne sais trop comment tu te retrouve dans ses bras, ni comment cela se fait que vous vous retrouviez assis par terre alors qu'il était sur ton lit juste avant. Mais tu t'en fiche éperdument. Il est là et c'est suffisant. Non seulement tu à sous les yeux la preuve qu'il va bien-aussi bien qu'on puisse aller ici-mais tu ne sera plus toute seule.
Toujours dans le silence, tu le garde contre toi, comme dans ton rêve de cette nuit. Il n'y à rien à dire. Parce que c'est facile pour l'un et l'autre de comprendre ce qui habite l'autre. Vous vous êtes mis à pleurer tout les deux, de façon silencieuse. Comme pour vous prouvez que l'autre est bien réel et que vous n'avez pas complétement sombrez dans la folie de cet endroit, vous lier vos mains ensemble. Tu pose tes lèvres sur vos doigts entre croisés alors qu'il embrasse ton autre main qu'il tiens dans la sienne. Votre semblant de cérémonial fini, il te regarde. Tu sent que les mots se forme sur sa langue avant même qu'il n'ouvre la bouche.
« Si la fin du monde devait arriver aujourd'hui même, je crois que je ne regretterais que ton sourire et tes yeux dans les miens. »
Tu ris au travers de tes larmes. Tu ne sais même pas ce qui te fait rire en faite. Tes nerfs qui lâchent sans doute. Et peut être que votre fatigue est trop grande, surtout la sienne et que votre peine aussi, tu n'en sais rien en faite, mais tu te laisse aller en arrière, Gilbert toujours contre toi. Tu le console comme on le fait avec les enfants. Et il n'y à plus un seul mot échangé, ni aucun geste amorcé . Tu ne sais pas combien de temps il vous sera accordé de rester comme ça, ni combien de temps vous resterez captif, alors tu ne veux pas le lâcher tout de suite. Ni lui demander ou il était et ce qu'il faisait depuis tout ce temps ou toi tu attendait ici. Parce que tu as peur de savoir. La réalité est déjà bien assez dégueulasse comme ça pour le moment. Tu préfère rester dans le flou et l'ignorance. Peut être qu'il à du s'endormir, tu n'en sais rien. En tout cas, toi tu rêve encore. Tu rêve du jour ou vous sortirez de cet endroit. De ce qu'il adviendra de l'un et l'autre. Et surtout tu imagine les différente manières de te venger de cet asservissement, de cet captivité. Tu monte différent plans pour faire payer à Ivan. Parce que la Hongrie n'abandonne jamais et se relève toujours. Loin du froid de décembre ~
_____________________________________________________________________________________________ Norge, ma femme : Blændet af natten- Spoiler:
La trahison fait mal tu sais ? Surtout quand c'est votre propre frère qui vous plante un couteau dans le dos. Je ne me rappelle de toute façon pas l'époque ou je me suis bien entendu avec lui, pour tout te dire. Sans doute que les liens fraternels sont fait de petites joies et grandes déchirures. De minuscules entraides et d'immenses trahison. Je ne saurais pas dire si c'est son départ, comme un rat qui fuit sous le couvert de la nuit ou simplement parce que c'est le premier qui à contesté ma domination pleine et entière sur l'Europe du Nord. Surement les deux. Le pouvoir vous aveugle, au point de vous aliénez. Parce que le pouvoir, quand on l'obtiens, on ne veux jamais le rendre. Parce que le jour ou on le quitte, on écrit une histoire un peut à part, comme une légende. Mais surtout, quand on perd le pouvoir, on en meurt. Certes, pas de façon physique-sauf pour les humains, ce que nous ne somme pas vraiment, tu en conviendra-mais une partie de nous meurt quand même. La fuite lâche de Berwald et Tino à cassé mon illusion utopique de croire que j'étais le meilleur et que tout ce que je faisait était bien, simplement parce que je l'avais décidé. Vous annexez à moi me paraissait la meilleur chose, au moment ou nos terres à tous étaient si faible. Et bien sur qu'une partie de moi doutait du bien fondé de mes décisions, bien sur que je sais que j'ai souvent été injuste. Mais tu sais quoi ? Je m'en foutais complétement. Parce que le plus important pour moi à ce moment, c'était de prouver que je pouvait réussir, qu'à moi tout seul j'arriverai à nous faire garder la tête hors de l'eau, que je pouvait réussir à vous épargnez la douleur de tout les grands empires. Parce que j'ai cette peur stupide et enfantine de mal faire et de me retrouver seul à cause de cette incapacité à garder les gens au quel je tiens à mes cotés. Mais ce n'est pas la meilleur méthode, de les enchainer à moi de façon aussi brutale. Les contraindre à se plier à la moindre de mes volontés, simplement pour les forcer à ne pas partir. Mais ce soir là, ils se sont enfuit et mon rêve chimérique s'est brisé. Comme une bulle rencontrant une épine.
Je déteste la réalité. Je hais mon propre frère. J'ai l'incroyable envie de tuer Berwald....
_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_ Il fait noir, pourtant le sommeil ne vient pas. Tu scrute les ténèbres, devinant les formes des meubles de la chambre, rendu un peut étrange avec la nuit. Depuis la rébellion de la Suède, ça t'arrive souvent de te réveiller et de rester quelque temps ainsi figé. Je sais bien que ce n'est pas le décor présent sous tes yeux que tu observe, mais je n'ai jamais posé la question de savoir à quoi tu pensait. C'est stupide, mais j'ai peur de ce que tu pourrais me dire. Moi qui me cache derrière un masque d'indifférence constante, je suis ténorisé à l'idée de savoir ce que tu rumine toutes les nuits. Je ne te fais jamais remarqué que je suis réveillé. Je sais bien pourtant, que tu ne fera rien, que tu agiras comme un imbécile en m'offrant ce sourire particulier du grand idiot. Parce que tu as promis. Tu à triché souvent, tu t'es caché plus d'une fois derrières de grandes actions militaires ou autres choses aussi ambitieuses que stupides et pendant un moment, tu passait ton temps à mentir. Je déteste tes mensonges. En faite, pour être tout à fait honnête, je devrais dire que je déteste tout les menteurs mais tes mensonges sont les pires pour moi je crois. Parce que le si peut d'équilibre qu'il y à entre tes deux toi et si fragile. Je connais le meilleur coté de toi-celui qui m'agace le plus, mais qui finalement me rassure. Je connais aussi le pire coté, que tu cache le plus souvent, jusqu'à ce que tu es trop accumulé de rancœur et que ça explose. Ce toi ci me fait peur. Parce que mes yeux ont vu ce que tu es capable de faire dans ces moments là. J'ai subi ta mauvaise humeur. Je ne tiens pas vraiment à ce que tu recommence. Je préfère quand ce toi là dors, bien au fond de ton cerveau. Quand il me laisse tranquille. Quand il n'ai pas la pour me faire craindre la moindre de nos rencontres au détour d'un couloir ou de chercher à fuir le plus que je peut les pièces ou nous sommes seuls. Ce toi qui me force à cacher les trois petits sans jamais leur dire pourquoi je leur interdit de sortir et de se montrer, d'attendre que je vienne les chercher. C'est la partie de toi que je redoute et déteste en même temps. Cette autre personne qui vie en toi se moque bien des blessures qu'elle inflige et des humiliations qu'elle fait subir. Peut importe le rang que l'on tiens auprès de toi, tu écrase tout le monde dans ces moments. Parce que tu n'as alors plus ni amis ni ennemis, seulement des insectes qui t'ennuies. Je sais bien que je pourrais me défendre ou même partir avec les trois petits. Mais je n'en ai aucunes envies. Parce que tes représailles sont bien pire. Et parce qu'il y à cette promesse, cet accord tacite entre nous, provenant de nos quelque silences, quand nous n'étions que tout les deux, que je ne t'abandonnerais pas, sauf en cas de force majeur pour permettre à nos deux royaumes de pâtir de mes choix. Tu m'as fait la même promesse. Mais je ne suis même plus sur que tu t'en souvienne. Parce que depuis ce jour, j'ai bien l'impression que plus rien n'existe pour toi qu'un moyen de te venger de lui. Ça ne changera rien et ça ne le fera pas revenir tu sais ? Je sent bien que ton autre toi frémi sous l'impatience, qu'il attend que tu n'en puisse plus pour sortir et se défouler de nouveau sur ce qui t'entoure. Je crois que si ça arrivais de nouveau, j'oublierais notre accord et ma promesse. Surement pas parce que j'ai peur de ce que tu pourrais me faire-alors que pourtant, c'est le cas-mais surtout parce que j'imagine ce que tu serais capable de leur faire à eux. Et crois bien que les images me hantent quand je regarde ton profil quand tu es assis dans notre lit à fixer quelque chose qui n'existe pas et qui dois pourtant t'apparaitre aussi clairement que les fées pour moi. L'alliance que j'ai ne me semble pas rouge à cause des couleur de ton drapeau et donc de notre attachement symbolique(je n'ai pas besoin de morceau de métal au doigt pour savoir ce qui nous lie en vrai)mais à cause du sang qu'elle à coutée. Celui de gens que je ne connais pas, du toi que je ne connais plus et aussi du mien. De mon sang qui tache encore le tapis du couloir. Du sang que tu à fait coulé, mais pour lequel le vrai toi s'est confondu en excuses. Je m'en fiche et je ne veux pas de tes excuse.
Parce qu'à la première goutte qui à perlée, je t'avais déjà pardonné*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_*_* Je sais que tu ne dors pas. Parce que tu me regarde. Tu sais à force d'observer la nuit, on remarque des choses que le noir ne permet normalement pas. Je ne veux pas tourner la tête vers toi. Je ne veux pas rencontrer tes yeux qui chercherons lequel des deux moi ils voient. Parce que celui qui te rassure est un costume, un faux. Il y à longtemps que le petit garçon qui te cassait les pieds n'existe plus. Il fait parti des première victimes de ce que je suis réellement. Parce que la chose qui vie au fond de moi est en faite le vrai. Je ne te le dirais pas. Parce que de toutes les choses que je peut briser entre mes doigts, tes rêves et tes illusions n'en font pas parti. Tu aime les histoires Norge. Tu vois encore les fées, alors que j'aperçois à peine des lucioles. Tu joue du violon avec la même aisance que celle que j'ai quand je massacre des rebelles à coups de hache. Je regrette le temps ou je te prenais pour une fée, quand je suis entré dans cette forêt en ruminant contre ce frère ainé qui avait tout les éloges du vieux alors que je me battait pour avoir au moins une miette. Le temps ou tu était mon secret à moi, la chose la plus précieuse que j'avais. Mais tu étais surtout à moi, par ce biais là. Parce que c'est moi qui t'avais trouvé le premier, pas Berwald. Mais en voulant te tenir si éloigné des autre et en même temps proche de moi, j'ai créer des chaines qui t'empêche de faire quoi que ce soit. J'ai bâtit des murailles pour que tu ne cherche pas à t'enfuir ou que quelqu'un t'emmène. Je suppose que tu ne serais pas surpris si je te disait que j'ai détesté Ice. Bien avant de voir ses yeux de môme remplis de l'interrogation muette qu'on les petit animaux quand on les prend au piège. Parce que les enfants devine les choses plus vite que nous, parce que leur regard est plus affuté que le notre Aleks, beaucoup plus. Avant même que tu ne lui dise, il savais que lui non plus ne pourrais pas partir. Parce que si c'est le seul moyen de te garder, j'enfermerais Nataniel. Mais je l'ai détesté quand même. Un peut moins aujourd'hui, parce que ça n'a aucun sens de lui en vouloir. Il n'y peut rien si tu te sent plus proche de lui, s'il est plus légitimement ton frère qu'Hakan ou Soren. Si à quelque détails près, il te ressemble. Malgré ça, même si je ne le déteste plus autant qu'au début, je serais capable de me débarrasser de lui de la pire manière qui soit, s'il t'éloigne de moi. Je suis quelqu'un de très égoïste Norge. J'ai surtout l'arrogance de croire que sans moi, vous n'êtes capable de rien et que, vous serez donc forcé de restez. Oui, tu es plus proche de Nat que des deux autres, tout comme j'ai une préférence pour Soren, comparé à Ice et Feroe. Quelque fois, je me dis que ce n'est pas très juste pour Hakan. Quoiqu'il fasse, il sera toujours le « second » pour toi comme pour moi. Même s'il se donne du mal, il aura le rôle du gamin qui ne fait jamais rien correctement ou assez bien pour que nos yeux se détourne de notre môme respectif. Et je me répète toujours que je dois faire quelque chose contre ça, parce que je sais ce que c'est d'être à cette place ingrate. Mais je n'ai jamais un mot d'encouragement pour lui et je ne m'en occupe pas plus qu'il ne faut. Je suis égoïste et incroyablement injuste. Et je repense au représailles. Les miennes à l'encontre de ce frère qui avait toujours tout ce que moi je visais, sans qu'on me l'accorde. Du bruit de la lame qui coupe la peau, sectionne les muscles et les tendons, qui brise les os. De l'amputation volontaire et cruel de Berwald à coup de hache, par pur sadisme. Parce que lui faire mal m'a fait réellement plaisir. Quand j'ai exhibé le membre mort de cet ainé que je hais, aussi bien devant les partisans de son pseudo leader que devant mes soldats. Étrangement, leur rires et leur cris de victoires ne m'ont pas apporté satisfaction. Je ne dit pas que j'ai des remords ou des regrets sur ce que j'ai fait. J'en ai, bien sur, mais pas à propos de ça. Ceux que j'ai remonte à plus loin que ça. Et c'est dans ces moments là que je me pose la question de savoir si Hilde serait aussi apte à coupé notre lien de sang que des corps.
Mais je chasse cette idée. Quand je fini par me tourner vers toi, je ne souris pas comme d'habitude et je sais bien que ça t'angoisse plus qu'autre chose. Mais je n'ai aucune envie de faire semblant. Parce qu'avec toi, je peux être moi, dans une certaine mesure en tout cas. - Tu sais...Je crois que la chaleur c'est quelque chose qui me manquera toujours Tu me regarde sans comprendre. C'est sur que venant de moi, cette phrase n'a aucun sens. Mais je ne parle pas de chaleur physique, que je possède, au contraire de toi. Je parle d'une chaleur que j'ai perdu. Celle que tu as quand tu parle au fées ou que tu t'occupe des trois gnomes. Tu ne fais pas semblant de dormir. Parce que tu ne ment jamais Aleks. Et j'échange nos rôle, en te laissant me prendre contre toi, une fois que tu es assis à coté de moi. Il n'y à rien à dire sur ce que j'ai pus faire. Et ta capacité à me pardonner mes erreurs et mes horreurs me stupéfait à chaque fois. Et ça me fait peur de savoir que même si je suis la personne la plus ignoble avec toi, tu ne compte pas partir. Parce que tu es englué dans une promesse qui n'as pas de sens. Juste subir, ce n'est pas du courage Norge, tu le sais ? Comment une nation comme toi, capable d'inventer des tortures aussi éfficaces que terrifiantes, tu peut en même temps être aussi calme et chaleureux ? C'est un peut ironique et en contraste avec ta peau froide. La glace brûle Aleks, aussi efficacement qu'une flamme. Oh..... Je crois que je peux finalement voir les fées. Parce qu'il y en à une qui est dans mon lit et qu'elle ne peut s'envoler nul part. Parce qu'elle à préférer brûler ses ailes plutôt que de me laisser tout seul dans la forêt sombre de mon propre esprit. J'espère juste qu'elle est assez puissante pour empêcher le monstre de cet endroit de sortir de sa cachette....
Dernière édition par Denmark/Johan Andersen le Dim 25 Déc - 6:54, édité 3 fois |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 16:35 | |
| MOIIIIIIIIIIII ! :x
Un pairing: Je peux avoir un PruHuuuuun ? Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ): Après la guerre 39-45, chez Ivan. Une situation: Ca m'est égal mais un truc poignant. :'D *quoiiii ? Comment ça j'adore les trucs où les persos souuuuuffrent ?* Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel: Éphémère, enfer et solitude. Une phrase à casée: "Si la fin du monde devait arriver aujourd'hui même, je crois que je ne regretterais que ton sourire et tes yeux dans les miens."
Voilà, j'espère que j'demande pas trop... x'D |
| | | Norge/Aleksander Eriksen
Régulateur officiel de Danois hyperactif
Messages : 268 Date d'inscription : 08/06/2011 Age : 33 Localisation : en Norvège
| Sujet: Re: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 16:43 | |
| MOI! Je demande même deux trucs parce que je suis méchante XD
Un pairing : Un DenNor *comment ça "on s'en doutait pas?"* Un lieu : après la fin de l'union de Kalmar. Une situation : Un truc mignon mais sans faire dans la guimauve c'est possible? Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel Une phrase à casée : "Tu sais...Je crois que la chaleur c'est quelque chose qui me manquera toujours"
Un pairing : Hawaii/USA Un lieu : Après la signature faisant d'Hawaii le 50ème état des USA en 1959 Une situation : Un noël en famille Trois mots à placés : Ohana - Famille - Amour Une phrase à casée : "Tu sais Al...Je crois que ce Noël sera le meilleur de toute mon existence" |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 17:48 | |
| Oh King, moi aussi j'en veux une ! S'teuplééééééééééééé ! *détache ses yeux et les mets à la lumière pour faire chibi eyes* ........ Bon. *remet ses yeux*
- Un pairing HK/Chine ♥ .......................
Oui bon d'accord, j'déconne. USA/Corée du Sud. **
- Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ) Après la Guerre de Corée, chez... Corée. Du Sud. u_u
- Une situation Un truc bien triste, genre Drama. :DDD Et puis, faut un petit côté mignon aussi. Parce-que les trucs mignons, ça vient de Corée ~ DAZE !
- Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel Kimchi ~ Sang ~ S'endormir
- Une phrase à casée " Après avoir perdu mon pays, mes enfants, mes frères, j'ai bien trop peur de te voir m'abandonner... "
... J'en demande peut-être beaucoup là... 8D Enfin, je fais confiance à ton sens artistique. ~
|
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 18:26 | |
| Moi veut ! Et j'ai enfin réussi à me décider /PAN/
Un pairing : UK + Ice Un lieu : Sur un bateau, pendant une des guerres de la morue 8D Une situation : Une bataille genre, avec un chtit côté angst et un Iggy en mode badass :3 Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel : Filet ~ Bottes ~ Patates (oui, j'aime les patates en c'moment) Une phrase à casée : "Ta dégaine de marin d'eau douce et ton air suffisant ne m'impressionnent pas, tu sais ?"
... Ouais j'suis chiante en fait |D
Edit : UHUH. Puisqu'on m'a dit que j'avais droit à une autre demande, j'me gène pas 8D
Un pairing : Russie + Finlande Un lieu : A la Tête de sanglier - Pré-au-lard. Une situation : Crossover avec Harry Potter, pendant une sortie à Pré-au-lard, sous la neige 8D Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel : Balai ~ Salmiakkis ~ Echarpe Une phrase à casée : "Si tu veux pas que ma baguette serve à autre chose que jeter des sorts, tu ferais mieux d'arrêter tout de suite."
Dernière édition par Island/Nataniel Helgusson le Mar 20 Déc - 15:28, édité 2 fois |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Sam 17 Déc - 20:20 | |
| Bon allez, j'ai envie aussi de proposer. Puis autant faire original hein, bande de ptits joueurs genre /TROUPEAUDEPONEYS/
Un pairing:J'veux un Liet. Et comme genre, on peut difficilement faire de pairing avec un personnage (sauf s'il s'agit de Pologne 8D /PAN/) je demande avec un challenger de haute taille. J'veux un T. j'veux un O. j'veux un N. j'veux un Y ! Et oui, je demande genre un Lituanie et Tony 8D . Enfin, un Tony et Lituanie plutôt. Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ):Chez USA. Notre époque. Une situation:Lituanie reçoit une invitation à passer chez USA MAIS ce n'est pas USA qui a écrit ça. Mais un alien bien décidé à se marier avec le lituanien en question. quitte à le faire de force. Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel:cafetière, soucoupe-volante, RAYONSPACIALULTRATONY-FIANT! Une phrase à casée:- ..j...j...jamais je ne rendrai les balais!-
Si tu arrives à faire quelque chose, je m'inclinerai bien bas 8D et surtout HAVE FUN! ~<3 |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Lun 19 Déc - 16:50 | |
| Comme sa majesté est généreuse ♥
Un pairing : Hummm, c'est dur de choisir mais allez, du Ukfr pour ne pas changer ♥ Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ) Canada, le 24 Décembre, pour rester dans l'ambiance de l'avent. Une situation Préparatif de noël. Et je veux que ça soit mignon mais que Francis s'en prenne plein la gueule quand même parce qu'il aime ça 8D Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel Castor, chaussette et pudding Une phrase à casée - Cette chose est elle vivante ou c'est réellement censé être un gâteau ? |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Mar 20 Déc - 18:49 | |
| Un pairing: USUK. \o/ Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ): Ne changeons pas d'époque ; Après la WWII. '-' Une situation: J'aimerai bien une discussion à propos d'Hiroshima/Nagasaki. Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel: Feu, timbré, folie pure. Une phrase à casée: "Tes conneries t'ont servies à avancer. Les miennes ne font que me faire reculer." |
| | | Invité
Invité
| Sujet: Re: Défis de l'avent Mer 21 Déc - 0:27 | |
| Un pairing : Aucun Un lieu (je veux bien l'époque aussi, tant qu'à faire ) : le 25 février 1947 Une situation : Pour les incultes c'est le jour de la Dissolution de la Prusse Trois mots à placés ou pour mon inspiration personnel : Gloire - Éternité - Haine Une phrase à casé e : "Je suis une Armée avant d'être une Nation, tant que mon frère portera les armes, J'existera !"
Voilà, oui je suis Maso... Mais j'ai envie de pleurer /PAN/ |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Défis de l'avent | |
| |
| | | |
Page 1 sur 1 | |
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |